J'habitais dans une maison que j'avais pris soin de teinter les vitres et l'endroit dans le bois. Je savais que je pouvais brûler au soleil ou mourir. Pendant la journée j'avais pu faire quelques recherche pour trouver ma femme, j'avais envie de voir son doux visage même si ce pouvait lui faire du mal. Après une bonne journée d'appel et de recherche sur le net je finissais par trouver son adresse et numéro téléphone que je marquais tout ça sur un papier. Je savais donc comment m'y rendre et ce que j'allais faire une fois le soleil couché.

J'allais me préparer pour aller la voir. J'avais dû temps à revendre et en plus je n'avais pas trouvé de sorcière qui pourrait m'aider. Il fallait du temps, mais ce n'était pas le temps qui allait m'empêcher de la voir au moins une fois. Une fois la nuit tomber, je sortais de chez moi et je me rendais chez ma femme. J'étais sûr qu'elle allait être étonnée de me voir. Je l'attendais dans le noir près de chez elle. Je la voyais arriver et je la regardais faire jusqu'à ce qu'elle parle.

«Oh, va bouffer ailleurs...»

Je me retenais de rire, mais j'étais encore plus étonné qu'elle ait su que j'étais tout près. Je sortais de l'ombre et je m'approchais un peu d'elle. Je m'adossais contre la rampe de l'escalier.

-Je n'ai pas très faim en ce moment. Merci de te préoccuper de ma soif !

Je m'approchais encore plus et j'allais à coté de la porte. Je savais qu'elle pouvait me refuser l'entrée si elle le désirait. Je la regardais toujours aussi magnifique qu'il y a deux ans. Elle ne semblait pas avoir de marque de moi, mais moi je le savais que trop bien.

- Je t'ai manquée ma beauté ?

Je souriais l'entendre dire mon nom. C'était bien de savoir qu'elle se souvenait toujours de moi après son au revoir sur papier. Je me disais que si elle ne voulait plus être ma femme ça n'aurait pas pris deux ans pour me les envoyer. Je voulais qu'elle me dise en face si elle voulait que je disparais de sa vie et je le ferais, mais sans prédire que ca sera par douceur. Je m'étais placé à côté de la porte et je la sentais me effleurer ma peau. Même si j'étais glacial je pouvais sentir et c'était agréable, mais je ne le montrais pas.

«Je... tu n'es pas une hallucination... Je mentirais si je répondais que tu ne me manque pas...»

- Non je ne suis pas une de tes hallucinations mais c'est flatteur de savoir ça. Je mentirais aussi si je disais tu ne me manquais pas.

Je la regardais toujours, mais elle entrait comme j'avais cru qu'elle ferait. Elle avait donc peur de moi, ce qui était normal. Je me plaçais pour la regarder face même si je ne pouvais pas entrée. Ça m'énervait tout de même cette histoire là de ne pas pouvoir entrée de pas pouvoir toucher sa peau.

- Tu me crains encore ... Pardon pour la dernière fois, mais tu ne m'as pas laissé la chance de m'excuser. Tu as simplement écrit un papier et c'est tout. Si tu voulais divorcer les papiers existe Daphnée ou un petit appel ça ne tue personne à ce que je sache.

Que voulait-elle vraiment de nous le divorce qu'elle le dise là maintenant ! Tout ce que je pouvais sentir en ce moment c'était sa peur et quelques humains qui ont passés ici. J'espérais pour elle qu'elle ne m'est pas trompée sinon tous ceux seront mort rapidement. Elle était encore ma femme et personne à part moi pouvait la toucher.

«Pardon? Je veux pas divorcer... t'es tomber sur la tête ou quoi?»

- Je me demande bien qui a perdu la tête depuis un moment.

Bien sûr que je portais mes yeux sur elle, je ne l'avais pas vu depuis deux ans. Maintenant savoir qu'elle ne voulait pas divorce, elle mettait surement en danger ceux avec qui elle avait eut un aventure. C'était une des choses que nous devions respecter la fidélité entre nous. Je n'avais pas touché aucune femme sauf pour la boire. Je regardais autour d'elle et je voyais des photos de nous, notre mariage. Ça me faisait bizarre de revoir ses photos.

«Pour le meilleur et pour le pire Olivier... Tu avais besoin que je m'éloignes... tu n'arrivais pas à le faire par toi-même...»

- Je n'arrivais pas car j'avais besoin de toi Daphnée !! Meilleur et le pire si au moins il y aurait eu un appel par mois dire simplement un '' Je t'aime Dalphnée et bonne nuit''. Ce n'est pas énorme une fois par mois, mais j'aurais aimé entendre ta voix une fois en ses deux ans .

Qu'elle croit ce qu'elle voudra j'aurais aimé savoir si elle allait bien malgré les blessures que je lui avais fait. Je n'osais plus du tout pensée tout ce que je voulais c'était un moment pour la voir tout simplement.

«Arriverais-tu à ne pas t'énerver si je te laissais entrer Olivier?»

Avais-je une raison de m'énerver ? Je ne savais pas, mais je savais une chose que je ne sente pas une odeur d'homme sur elle tout ira bien. Je ne voyais rien en ce moment donc je serais calme.

- Ce soir, oui ... Laisse moi entrée, tu en as envie autant que moi que je rentre et je te prenne contre moi ainsi qu'avoir un baiser de ma part. Ne dit pas contraire ça se voit très bien tu en as envie.

Je n'étais pas venu pour la blesser je voulais simplement la revoir et avoir quelques réponses de ce qu'il se passera pour nous. Maintenant que je savais qu'elle m'aimait encore et qu'elle ne voulait aucun divorce cela me rassurait que j'avais encore mes chances avec elle enfin dès j'aurais trouvé une de ses fichus sorcières. Je devais en trouver une pour ravoir ma femme sait qu'elle ait peur de moi. Elle me confirmait ce que je savais déjà et il fallait avouer à moi-même que j'avais envie de le faire, car elle me manquait.

Sans m'y attendre je sentais ses bras se poser contre mes épaules et glisser jusqu'à mon cou. Je savais apprécier un geste, mais j'étais incapable de l'exprimer. J'essuyais sa larme sur sa joue qui me faisait rappeler tant de choses. Avait-elle un secret qu'elle n'osait pas me dire et qui la rendait malheureuse ? Je la serrais contre moi quand elle mettre sa tête sur moi. J'avais attendu se moment, mais encore une fois je ne pouvais pas profiter en grandeur.

«Je ne peux pas te laissé entrer Oli... Marchons jusqu'à l'endroit ou tu loge...»

Je n'avais pas eu le temps de répondre qu'elle mettait son front contre mes lèvres. D'un nature normal, je déposais un baiser sur son front et sa tête. Je pouvais entendre son coeur battre rapidement. Elle avait encore des sentiments et un coeur ne ment pas sur les sentiments aussi fort que celui ci.

- Tu n'as aucune confiance pour me laisser entrée d'accord, si nous allons part chez moi dors avec moi cette nuit. Bon je ne dors pas vraiment, mais te voir dormir et t'avoir dans mes bras... Enfin tu comprends ce que je veux dire.

Elle comprenait, mais elle semblait tellement avoir peur de moi pour me laisser entrée. Bon j'avoue que je l'avais déjà battu, mais je savais un peu plus contrôler. Pas le parfait jeune homme tout doux, mais je pouvais avoir une tolérance juste. Elle me souriait un peu et ce qui me faisait un peu rire c'est qu'elle s'était mis sur le bout de ses pied un peu pour déposer un baiser trop rapide à mon avis. J'aurais aimé un vrai baiser. Elle me disait ensuite qu'elle allait chercher des vêtements pour demain. Alors, elle avait donc accepter dormir chez moi ce qui était super. Après deux ans sans elle, en une seule heure même pas j'avais réussit à la faire venir dormir chez moi. Daphnée reculait d'un pas ce qui l'éloignait un peu de moi. Elle rentrais à l'intérieur une fois qu'elle me disait qu'elle revenait. Quand je la voyais quinze minutes après avec un sac d'épicerie avec un autre sac pour ses vêtements, je me posais des questions, mais je comprenais quelques secondes après. Je ne disais donc rien surtout si je la voulais chez moi cette nuit.

- Allons y.

Elle verrouillait sa porte et je lui prenais ses sacs. J'avais espéré ce moment, de la revoir et l'avoir une soirée, une nuit pour moi et ce soir cela arrivait. Je la regardais et je lui demandais.

- Tu préfère marcher jusqu'à chez moi où tu aimerais vitesse vampire ?

J'avais déjà mon idée sur la réponse, mais au cas où qu'elle changerait d'avis.